Le monde rattrape son retard : Les diamants cultivés en laboratoire sont à la mode en dehors des États-Unis

Les États-Unis jouent un rôle unique en tant que centre de la vente au détail de bijoux en diamant et en tant que précurseur dans le monde entier. Les détaillants vendent avec succès des diamants cultivés en laboratoire aux États-Unis et au Canada depuis plusieurs années, et les ventes annuelles ne cessent de croître. En fait, Forbes a qualifié les bijoux cultivés en laboratoire de catégorie de bijoux dont la croissance est la plus rapide aujourd'hui.

L'Australie, l'Inde et Hong Kong constituent d'autres marchés de détail importants pour les diamants artificiels. Dans le même temps, de nombreux bijoutiers des pays européens et asiatiques hésitaient à promouvoir les pierres précieuses créées en laboratoire. Toutefois, le récent regain d'intérêt des consommateurs en Europe et au Moyen-Orient montre que ces marchés ne sont pas si éloignés et sont prêts à accepter l'alternative au diamant d'extraction minière.

Il semble que cette année verra un changement dans le comportement des vendeurs, car la sensibilisation et l'intérêt des consommateurs pour les diamants cultivés en laboratoire sont plus élevés que jamais. Selon une étude récente de The MVEye, près de la moitié des consommateurs de bijoux dans cinq grands pays européens sont prêts à acheter un bijou contenant un diamant cultivé en laboratoire. 41 % de ces consommateurs ont déjà acheté ou reçu un tel bijou au cours des trois dernières années et en sont restés satisfaits. Le coût est le principal facteur de cette décision, car de nombreux acheteurs de produits de luxe ne voient pas d'inconvénient à obtenir une pierre précieuse plus grosse pour le même prix.

La récente annonce de Pandora et le lancement de la collection Brilliance en Grande-Bretagne ont également accru la sensibilisation du public aux diamants de laboratoire en Europe. Selon les chiffres publiés par Professional Jeweller ce mois-ci, 77 % des consommateurs européens connaissent les diamants artificiels, et 73 % d'entre eux y sont favorables.

Par ailleurs, l'Europe n'est pas la seule à essayer les diamants cultivés en laboratoire. Les Émirats arabes unis, l'un des pays les plus riches et les plus conservateurs en ce qui concerne les habitudes d'achat de produits de luxe, acceptent également les bijoux fabriqués par l'homme. Dans un article récent de Gulf News, le groupe Dubai Gold & Jewellery et les représentants d'IGI Dubai n'hésitent pas à promouvoir les diamants cultivés en laboratoire auprès des consommateurs, les considérant comme des alternatives plus abordables, à condition qu'ils soient certifiés.

Depuis plusieurs années, LaBrilliante opère non seulement au niveau national, mais aussi en dehors des États-Unis, et notre récent succès au Royaume-Uni montre que la demande de diamants certifiés cultivés en laboratoire en Europe n'a jamais été aussi forte. Nous pensons que le client devrait pouvoir décider d'acheter soit un diamant miné, soit un diamant cultivé en laboratoire, et de plus en plus de clients dans le monde entier optent pour le diamant cultivé en laboratoire. Les États-Unis ont lancé la tendance et le monde entier rattrape rapidement son retard. Nous conseillons vivement aux détaillants qui hésitent encore de ne pas rater leur chance d'attirer les consommateurs de diamants cultivés en laboratoire.

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